Site icon Docteur Montoneri Sebastiano

Augmentation mammaire et douleurs

augmentation mammaire douleurs medecine esthetique docteur sebastiano montoneri chirurgien esthetique paris

augmentation mammaire douleurs medecine esthetique docteur sebastiano montoneri chirurgien esthetique paris

La chirurgie d’augmentation mammaire a souvent des suites douloureuses. C’est d’ailleurs parfois un frein pour certaines patientes au moment de décider d’une opération.

Ces douleurs sont souvent inévitables mais elles peuvent être prises en charge afin de durer et de gêner le moins possible.

Voici tout ce qu’il faut savoir sur les douleurs après chirurgie d’augmentation mammaire.

 

Quelles douleurs après une augmentation mammaire ?

 

Les douleurs après une intervention d’augmentation mammaire sont inévitables, même quand l’intervention, menée par un praticien expérimenté, s’est déroulée normalement.

Elles varient en fonction de plusieurs facteurs :

Mais la douleur reste une notion subjective, chacun n’ayant pas le même seuil de tolérance ni les mêmes antécédents médicaux. Certaines femmes ressentiront des douleurs jugées importantes alors que d’autres se plaindront plutôt de gêne à type de courbatures ou de crampes.

Quelle que soit l’intensité de la douleur ressentie, il existe des solutions pour y remédier.

 

Comment limiter les douleurs après une augmentation mammaire ?

 

Elles peuvent être traitées par :

Si les douleurs persistent et restent sévères malgré le traitement antalgique, il ne faut pas hésiter à consulter son chirurgien pour une adaptation des doses ou du médicament.

 

Augmentation mammaire : combien de temps durent les douleurs ?

 

En principe, les douleurs les plus importantes sont ressenties dans les jours qui suivent l’intervention : à ce stade, les tissus sont encore traumatisés et congestionnés, le muscle pas encore cicatrisé et la prothèse est encore perçue comme un corps étranger sensible.

Une fois la phase aiguë passée, il subsiste une gêne et un inconfort qui peuvent durer plusieurs semaines.

À ce stade, il faut rester prudent : l’amélioration peut conduire à reprendre un rythme de vie normal, avec possiblement des mouvements qui peuvent réveiller la douleur.

Il est donc conseillé d’interrompre ses activités professionnelles pendant au moins une quinzaine de jours et toute activité sportive, surtout intense, pendant un à deux mois.

Quitter la version mobile