Greffe de cheveux à Paris
Sommaire
Greffe de cheveux l Punch hybride l Robot ARTAS l Alopécie androgénétique
La calvitie commence en général par l’apparition d’une tonsure et/ou l’apparition de golfes frontaux dégarnis au niveau de la tête. La calvitie est un terme générique qui désigne le fait d’une zone plus ou moins étendue du cuir chevelu se dégarnisse.
Bien qu’il existe différentes formes de calvitie, la plus fréquente est l’alopécie androgénétique, dont sont atteints 30 % des hommes à 30 ans et 50 % à 50 ans. Les causes précises de cette perte de cheveux ne sont malheureusement pas entièrement connues et s’il existe à l’heure actuelle des traitements médicaux qui peuvent la retarder, aucun ne permet encore de l’enrayer définitivement.
Tout savoir sur la greffe de cheveux à Paris
Les immenses progrès accomplis par la chirurgie dans ce domaine offrent aujourd’hui à tous ceux qui le désirent la possibilité de retrouver leur chevelure d’antan, par un moyen simple, définitif et surtout naturel : la micro-greffe capillaire.
La greffe de cheveux permet de transplanter un à un des follicules pileux depuis une zone dite donneuse, où les cheveux sont nombreux et sains, vers une zone alopécique, dite receveuse, au contraire clairsemée ou totalement dégarnie.
La greffe par transplantation de cheveux est une technique très au point avec des risques minimes. Elle permet de repeupler les zones dégarnies du cuir chevelu liée à l’apparition d’une alopécie.
Robot Artas
Greffe FUE
FUE punch hybride
Prévention de la chute
Le Punch Hybride, une innovation en matière de FUE
Qu’est-ce que le Punch Hybride ?
Le Punch Hybride permet, grâce à un moteur WAW et une pédale, de sélectionner avec précision les greffons, tout en réduisant significativement la douleur. C’est vrai, le Punch Hybride est totalement atraumatique, grâce notamment à sa forme en trompette, permettant de limiter les pressions au niveau du crâne. C’est cette conception qui lui assure également une plus grande précision.
Quels sont les avantages du Punch Hybride ?
- Une meilleure repousse, grâce à la diminution de taux de transection : la conception innovante du Punch Hybride lui permet de limiter significativement le taux de transection, c’est-à-dire le nombre de follicules pileux au sein de l’unité folliculaire extraite. De ce fait, les greffons sont préservés et les résultats très satisfaisants.
- Le Punch Hybride, une méthode sans douleur : de ce fait, l’utilisation du Punch Hybride n’est pas traumatisante pour le patient, qui peut reprendre une vie sociale et professionnelle normale, dès l’issue de la séance de greffe.
- Une intervention rapide : la venue du Punch Hybride sur le marché a permis aux praticiens d’améliorer leur concentration, grâce à la diminution de la durée de l’intervention.
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ARTAS, un système de greffe robotisée révolutionnaire
ARTAS est une autre révolution en matière de restauration capillaire. Sous ce nom mystérieux se cache en réalité un système robotisé unique en son genre et dans le monde. Conçue par les Américains de Restoration Robotics, cette technologie trouve aujourd’hui sa place en France et séduit aussi bien les praticiens que les patients.
Comment fonctionne le système robotique ARTAS ?
L’outil ARTAS a pour objectif d’assister les chirurgiens dans les mouvements, tout au long de la procédure de greffe. Lors de la sélection des greffons, le système robotisé ARTAS propose une aide à la dissection, en apportant précision et efficacité. Il est également équipé d’un outil de vision stéréoscopique de haute définition, permettant également de cibler les unités folliculaires les plus qualitatives, mais également de cartographier les zones à cibler.
Quels sont les avantages du système robotique ARTAS ?
- Une précision chirurgicale : le système robotique ARTAS s’avère très précis. Aussi, il est en mesure de limiter significativement le risque d’erreur humaine. D’autre part, il accompagne le praticien dans tous ses gestes, lors d’une séance de greffe capillaire.
- La possibilité de sélectionner uniquement les meilleurs greffons : ainsi, les patients peuvent bénéficier d’une qualité de repousse supérieure et retrouver une chevelure fournie.
- L’identification des meilleures zones de transplantation : le système robotique ARTAS fait intervenir le concept d’intelligence artificielle. Grâce à lui, l’outil est en mesure de préserver les cheveux sains au niveau des zones à greffer, et d’implanter uniquement aux endroits les plus indiqués les greffons préalablement prélevés.
- Prélèvement de Méga sessions pouvant aller jusqu’à 3000 unités folliculaires en une journée.
Des traitements préventifs et/ou médicamenteux sont également envisageables pour stopper la chute des cheveux et parfois obtenir une légère repousse. Néanmoins, ils présentent une efficacité limitée en terme de repousse et ces traitement sont coûteux et à prendre à vie par rapport à la technique chirurgicale des implants / greffes capillaires.
La forme la plus courante de calvicie : l’alopécie androgénétique
Les cheveux sont composés de kératine, substance que l’on retrouve dans les ongles et la couche supérieure de l’épiderme (couche cornée). Ils prennent naissance, dans le follicule pileux appelé bulbe, situé dans le tissu sous-cutané. Comme toute autre partie de l’organisme, le bulbe est constitué de cellules vivantes, soumises à un cycle de croissance naturelle qui leur est propre qui se décompose en trois phases : anagène, catagène et télogène.
- La phase anagène correspond à la période de croissance du cheveu, c’est la plus longue du cycle, elle dure 2 à 5 ans en moyenne. La majeure partie des cheveux qui coiffent notre tête se situe dans cette phase.
- Vient ensuite la phase catagène, d’arrêt progressif des différentes fonctions vitales, elle correspond à une phase de repos d’environ 3 semaines, durant laquelle le cheveu cesse d’évoluer. S’ouvre alors la phase télogène, d’une durée approximative de 3 mois, qui aboutit à la chute du cheveu et idéalement au commencement d’un nouveau cycle.
- Le cheveu télogène peut tomber de lui-même ou être délogé par un nouveau cheveu en phase de croissance.
Chaque bulbe est programmé pour un nombre de cycles prédéfinis, qui oscille entre 25 et 30 en moyenne au cours d’une vie. La durée de chaque cycle étant comprise, comme nous l’avons vu, entre 3 et 5 ans, nous disposons tous, en théorie, d’un nombre suffisant de cycles pour conserver une chevelure fournie et drue durant notre existence.
Malheureusement, il n’en va pas ainsi de certains sujets prédisposés chez qui, pour des raisons en partie inconnues souvent liées à des facteurs héréditaires, les cheveux situés dans des régions précises du crâne entrent dans une phase d’accélération très rapide du cycle pilaire.
Ce dernier, en se raccourcissant, épuise son potentiel en un laps de temps plus court, ce qui entraîne tout d’abord une raréfaction des cheveux, puis la calvitie proprement dite. Les innombrables études menées sur la question ont toutes mise en lumière la part essentielle prise par les hormones androgènes (testostérone et dihydrotestostérone) dans la chute précoce des cheveux.
D’où le terme d’alopécie androgénétique, employé pour désigner ce type de calvitie responsable de 98 % des cas de chute de cheveux précoce chez l’homme et de 30 % chez la femme.Contrairement aux idées reçues, la calvitie n’est pas le signe d’un regain de virilité, qui indiquerait une augmentation du nombre d’hormones masculines.
Les observations montrent en effet que la concentration totale de testostérones est pratiquement la même entre un sujet chauve et un autre particulièrement chevelu. Les premiers se distinguent en revanche par la sensibilité aux testostérones de certains de leurs follicules pileux, situés normalement au sommet du crâne. Chez les personnes chauves, ces follicules ont en effet une sensibilité plus aiguë, qui se traduit par une augmentation de l’enzyme 5-alpha-reductase, laquelle, à l’intérieur de la cellule, transforme la testostérone en sa forme active, le dihydrotestostérone (DHT).
Ce dernier provoque l’accélération du cycle pilaire qui aboutit, en dernière instance, à l’atrophie précoce du bulbe et à la chute du cheveu. C’est pourquoi même dans les cas de très grande calvitie, le sujet conserve toujours une « couronne » caractérisée par une bonne densité capillaire : à cet endroit, en effet, les cheveux ont une sensibilité normale aux testostérones et par conséquent un cycle pilaire de durée elle aussi normale. Ce détail a une grande importance, car ce sont justement ces follicules pileux qui vont fournir la matière première nécessaire à la réalisation de la micro-greffe capillaire. Les follicules de la couronne, même transplantés dans une autre région du crâne, conservent en effet une sensibilité normale et un cycle pilaire de durée normale.
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